L'auteur
nous parle ici moins de poésie ou d'états d'âme que de Celui qui inspire
toute contemplation. Renouant avec la tradition de sainte Thérèse d'Avila
et, plus près de nous, de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, Marie
Septembre évoque tour à tour ses manques, ses interrogations, sa
joie, sa confiance, en un langage au-delà de tout langage. Espérant
contre toute espérance, elle interpelle le monde qui lui paraît si étranger
à ce qui fait le vrai bonheur.